Une transition verte qui ne laisse personne de côté

Une transition verte qui ne laisse personne de côté

On estime que 120 millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté au cours des trois dernières années, et nous sommes encore loin d’avoir atteint nos objectifs de développement durable des Nations Unies d’ici 2030. Nous devons donc placer les personnes au centre d’une stratégie visant à accroître le bien-être humain partout.

PARIS – Nous travaillons de toute urgence pour en faire plus pour les gens et la planète. De multiples chocs qui se chevauchent ont mis à rude épreuve la capacité des pays à lutter contre la faim, la pauvreté et les inégalités ; renforcer la résilience ; et investir dans leur avenir. Les vulnérabilités de la dette dans les pays à revenu faible et intermédiaire constituent un obstacle majeur à leur reprise économique et à leur capacité à effectuer des investissements critiques à long terme.

Nous travaillons de toute urgence pour lutter contre la pauvreté et les inégalités. On estime que 120 millions de personnes ont été poussées dans pauvreté extrême au cours des trois dernières années et nous sommes toujours loin d’atteindre nos objectifs de développement durable des Nations Unies d’ici 2030. Nous devons donc placer les personnes au centre de notre stratégie pour accroître le bien-être humain partout dans le monde.

Nous voulons un système qui réponde mieux aux besoins de développement et aux vulnérabilités, désormais exacerbés par les risques climatiques, qui pourraient encore affaiblir la capacité des pays à éliminer la pauvreté et à parvenir à une croissance économique inclusive. Le changement climatique générera des catastrophes plus importantes et plus fréquentes, et affecter de manière disproportionnée les populations les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Ces défis traversent les frontières et présentent des risques existentiels pour les sociétés et les économies.

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